lundi 1 juillet 2013

Mya

Petite Présentation de mon second Roman : Mya qui est en court d'écriture

Donc, bon il est toujours en cours d'écriture, mais rien ne m'empêche de cou faire découvrir un peu  l'univers de Mya en même temps que moi.




Intro : en attendant que je me décide pour le résumé.


Je m’appelle Mya j’ai 16 ans.

Aujourd’hui, je suis plus ou moins heureuse, mais il y a quelque mois, c’était loin d’être le cas. Ma mère est tombée enceinte de moi alors qu’elle avait à peine 17 ans. Elle avait tout pour elle, popularité, très bonne élève, un petit copain qu’elle aimait éperdument. Mais il n’a pas assuré, il a pris la fuite dès qu’il a su pour moi. Il savait qu’il ne pourrait m’aimé, c’est ce qu’elle me racontait durant toute mon enfance. Mais une chose est sure, c’est qu’elle aussi ne m’aime pas, alors pourquoi n’a-t-elle pas fait interrompre sa grossesse plutôt que de me le faire payer jour après jour, puisque d’après elle, toute sa vie a été gâcher par ma faute. Durant mes 16 premières années, j’ai vécu l’enfer, les rabaissements au quotidien, son alcoolisme. Les seuls moments de tranquillité que je pouvais espérer, était les moments où elle cuvait dans son lit, ou dans le canapé.

L’alcool commence à la ravagé, pourtant elle aurait pu être une très belle femme. Elle était mince, pas étonnant vu que je ne la voyais plus mangé que dans un verre depuis mes 15 ans. Mais elle avait encore des formes, là ou toute femme doit en avoir. Ces cheveux couleur or auraient été tellement plus soyeux si elle s’en occupait un peu plus, j’avais dû la forcer à aller chez le coiffeur pour lui faire faire une coupe qui la rendait un peu plus sophistiqué, mais malheureusement elle ne l’entretenait pas. Cela mettait tout de même ses yeux chocolat en valeur. Moi j’étais tout le contraire d’elle, mes cheveux noir était long et fin, légèrement mais alors vraiment très légèrement ondulés, ce qui m’énervé, ils ne pouvaient pas être soit lisse, soit bouclés, et bien non ma vie est un enfer jusqu’au bout, mais cela faisait ressortir mes yeux bleu la seule chose que j’aimais chez moi. Je suis une fille tout à fait banale comme vous pouvez le voir, et loin d’être populaire. Le seul point commun que nous avions de l’époque où elle était au lycée était mes excellents résultats scolaires.

Mais vous comprendrez mieux tout ça, en lisant mon histoire et les passages de mon journal intime.

Mya : Playlist

Pour ce roman, je voulais vous créé une petite playlist, étant donné que Mya est une fan de Musique, celle ci l'accompagnera tout le long, donc pour vous facilité les choses et évité de chercher à droite à gauche, je vais vous mettre des liens You-tube avec la page à laquelle il fait référence


Chapitre 6 :
Kiss me de Sixtence None the Ricer

Chapitre 7 :
Give me love d'Ed Sheeran

Chapitre 9 :
Kiss you des One Direction
Complicated d'Avril Lavigne

Chapitre 10 :
You and me de Lifehouse



Attention : cette Playlist est susceptible d'être modifié au court de l'écriture où même de la correction !!!


Prêt à tout pour elle

~  Chapitre 2  ~

PDV : Briana

Nous étions vendredi matin, la grande réouverture avait lieu le soir, j'avais appelé Tante Jenny pour avoir la permission de sécher les cours afin de contrôler si tout se passait bien. Je lui avait assuré que je rattraperais tous les cours de la journée dès le dimanche avec l'aide de Keira, avec qui j'étais devenue assez proche depuis son arrivée au bahut. C’était l’une des rares personnes qui ne jugeait pas mon changement de vie social. Peut-être était-ce parce qu’elle ne connaissait pas l’ancienne Briana. Sur les recommandations de Tante Jenny, j’avais embauché un videur, elle avait insisté pour que j’en engage un par sécurité, étant donné que nous étions mineurs. J’avais fait un maximum de publicité : un encart dans le journal, une page Facebook que mes amis et ceux de Liam avaient cordialement fait tourner, des prospectus que j’avais fait distribuer par des jeunes du quartier contre un petit billet et ils en avaient été très contents.

- "Salut chouquette. (Mon dieu qu’est-ce que je pouvais détester ce surnom ridicule, je ne cesserais jamais de le répéter)

- Ah !! Liam, enfin, quelle heure est-il?
- 18H30.
- déjà !!! "

Je n’avais pas vu le temps passer, Liam insista pour que je laisse les serveuses terminer seules et que nous allions manger un morceau ensemble, sûrement pour s’assurer que je n’oublie pas de manger, ce qui, je dois l’avouer m’arrivais assez souvent quand j’étais trop concentrée sur ce que je faisais. J’acceptais sa proposition, mais à condition de manger quelque chose vite fait, d’aller le chercher et de le manger ici, pour que j’ai les derniers préparatifs sous les yeux, on ne sait jamais.

Quand il s’agissait de manger quelque chose de rapide, c’était chez Rabah que nous allions toujours car c’était l’un des meilleurs de Torrance ! Nous allâmes donc chercher ce qu’il fallait. A notre arrivée, le resto était complet, mais Rabah nous vit et pris notre commande aussitôt. Comme il remarqua que je ne tenais pas en place, il nous servis en urgence. Il nous demanda comment avançaient les préparatifs pour le soir. Je lui expliquai qu’il me restait encore plein de choses à faire, et que Liam m’avait traînée ici ! Celui-ci se mit à rire aux éclats et je le fusilla du regard. Rabah me sourit et comprit aussitôt que je jouais encore à la perfectionniste, il m’assura que tout serait parfait, qu’il avait hâte de voir la façon dont j’avais tout réorganisé et qu’il avait prévu de fermer exceptionnellement de bonne heure pour pouvoir venir. Au moment de payer la note, il nous annonça qu’il nous les offrait pour nous porter chance le soir. Nous l’avons tout deux remercié et sommes retournés au PUB car je commençais à me sentir de plus en plus anxieuse. Le temps raccourcissait et la pile de choses à faire ne cessait d’augmenter dans ma tête.

Quand nous arrivâmes, je pris mon téléphone que j’avais oublié sur le comptoir et m’aperçut que j’avais reçu un message, je regardais le destinataire, c’était Keira qui m’annonçait qu’elle aurait un peu de retard car tout compte fait elle ne viendrait pas seule. Avait-elle un petit ami ? Et me l’aurait-elle caché ? Pourtant elle m’avait bien dit qu’elle avait tout laissé derrière elle en quittant Pittsburg, même son petit ami et j’en étais sûre.
Quoiqu’il en soit, tout était fin prêt, les serveuses, Julie, Maïa et Alice étaient prêtes et en place ainsi qu’Erik, le videur. La soirée pouvait donc enfin commencer, ce qu’elle fit très rapidement d’ailleurs. Tout avait l'air de bien se passer, il y avait énormément de monde, je pense que je n’aurais pas pu réunir plus de gens ! Nous verrions bien le lendemain, une fois calculée la recette de la soirée. Il était à présent 23H, et toujours pas de Keira à l'horizon, je décidai d'aller dans mon bureau afin de travailler un peu car j’avais beaucoup de paperasse qui m’attendait. Je commençai tout juste à ranger tous les papiers quand la porte s'ouvrit.

-« Alors toi !! Tu organises la soirée du moment, avec toutes les grandes personnalités de Torrance et tu restes dans ton bureau !?! 
- Keira, enfin, je croyais que tu n'allais jamais venir !
- Mon frère a voulu faire un détour.
- Tu es venue avec ton frère ? » Je ne savais même pas qu’elle avait un frère.
- « Et bien... oui, tu croyais que c'était qui ?
- Je ne sais pas, un petit copain que tu m’aurais caché.
- Non, je suis libre comme l'air, malheureusement !
-« Bienvenue au club ! » Dis-je en lui souriant.
- Bon la star, on va dans la fausse aux lions.
- « Comme tu dis ! » Soupirais-je.

Nous quittâmes le bureau et nous dirigeâmes au bar, la salle était pleine à craquer. Je lui demandai ce qu’elle désirait boire, elle me demanda un Mojito. Je passai donc commande à Julie qui se trouvait juste devant nous en ajoutant un coca pour moi. Keira me regarda avec de grands yeux :

-« J'en crois pas mes yeux Briana, tu tiens un pub, t’as aucun besoin de papiers, et tu te commandes un coca !!
- Ouais, je suis responsable que veux-tu ?
- Nickel, comme ça tu pourras me ramener.
- Aucun souci. »

Nous passâmes une bonne soirée toutes les deux à rigoler et à regarder les beaux mecs qui passaient devant nous. Elle commençait à être complètement pompette alors j’ai décidé qu'il était temps pour moi de la ramener chez elle. Je la pris par le bras et la soutenais afin de l'aider, ou du moins, j’essayais de l'aider à marcher droit. Je lui demandai d'éviter de vomir dans ma voiture, elle me répondit qu'elle allait essayer. Pourvu qu'elle y arrive, je ne supporte pas l'odeur du vomi, et en plus, je risquerais de faire comme elle. Je lui ai conseillé d'éviter les Mojito à l’avenir, étant donné qu'il ne lui en fallait qu’un et demi pour devenir pompette. Je lui ai demandé si elle voulait prévenir son frère pour qu'il ne s'inquiète pas et que je la ramenais chez elle, elle me répondit qu'elle allait le faire une fois dans la voiture.
En sortant du PUB, j'avais averti Erik que j'allais ramener Keira chez elle et que je reviendrais fermer le PUB, de façon à ce qu'il prévienne Liam, au cas où il me chercherait partout. J'avais eut beau regardé un peu partout, je ne l'avais pas vu nulle part, et ce, depuis un bon moment, je me demandais bien où il avait bien pu passer encore celui-ci ! Arrivée à la voiture, j'ai ouvert la portière, ai aidé Keira à monter à bord, lui ai mis sa ceinture, puis l’ai ramenée chez elle. A peine avais-je mis le contact qu'elle s'était déjà endormie ! Je pris son téléphone et envoya un message à son frère :

«Ne t'inquiète pas, je suis rentrée, ma copine m'a ramenée à la maison, bonne soirée, KEIRA»

Je cherchais le numéro de téléphone dans le répertoire de son BlackBerry tout en me rappelant que je ne connaissais pas le prénom de son frère. Je me mis à prier pour que je trouve un indice, quand je tombai sur « Hermano». Je me souvins alors de mes cours d'espagnol et me rappela que cela voulait dire frère, quoi de plus normal. Arrivée devant chez elle, je l’ai réveillée et lui ai dit qu'elle était arrivée à destination. Sa maison était une maison toute simple, aucune lumière n’y était allumé, je me suis dit que sa mère ne devait pas être là. Elle me remercia et je lui souhaitai une bonne nuit.

Je la regardais rentrer, avec un peu de mal je dois l'avouer, mais une fois qu'elle avait refermé la porte de chez elle, j’ai redémarré et suis retournée au PUB. Au moment de passer la porte, un homme me heurta. Je ne fis pas vraiment attention à lui, puis il s'excusa :

- «Ce n'est pas grave, mais regardez où vous allez la prochaine fois», lui dis-je encore de bonne humeur.
- «Euh ... ouais je ferais gaffe la prochaine fois », me dit-il avec un sourire qui se voulait charmeur.

Du coup, je l’ai regardé un peu plus en détails, il était plutôt pas mal, grand, tout en muscles, mais beaucoup moins qu'Erik quand-même ; châtain, les cheveux courts, et mal rasé. Mais le fait qu'il n'était pas moche à regarder n'était pas une raison pour bousculer les gens comme ça. Erik m'ouvrit la porte avec un sourire et je me dirigeais vers mon bureau, je fermais la porte à clef et m'allongeais sur le sofa, au calme, afin de me reposer un peu, étant donné que tous avaient l'air de se passer de moi à merveille.

Je dormais bien profondément quand je fus réveillée par quelqu'un qui frappait à la porte, j'ai attrapé mon téléphone pour regarder l'heure, il était 5H00. J'avais réussis à dormir durant deux bonnes heures, cela m'avait requinquée. J'ai ouvert, c'était Liam qui me cherchait, sans vraiment me chercher, d’ailleurs, si vous voulez mon avis, il m'aurait trouvé bien avant si c’était le cas. Il m'annonça que tout le monde était parti, et qu'il ne restait plus que nous deux et Erik. Je lui ai demandé ce qu'il avait bu, il m’assura qu’il n'avait pris que deux bières et que cela remontait à plusieurs heures déjà. Je lui ai donc dit qu'il pouvait rentrer à la maison que ça allait pour moi, que j'allais rester pour faire la caisse ainsi que deux ou trois bricoles avant de rentrer. Il me souhaita bon courage et moi une bonne nuit.
Je l’ai suivis jusqu'à la sortie et ai fermé la porte à clef derrière eux, je me suis dirigée vers le comptoir et me suis servis un bon cappuccino afin de me réveiller un peu plus. Je me mis à compter la caisse, verdict : 9 851$, humm, plutôt pas mal pour une première soirée ! J’ai mis un peu d'ordre dans la grande salle et suis partie m'allonger cinq minutes sur le sofa de mon bureau et me suis rendormie.



PDV : Navid

Quand je suis rentrée à la maison, Keira était en train de se préparer, je suis allé la voir et lui ai demandé où elle allait comme ça. Elle m'expliqua qu'elle allait rejoindre une de ses amies et qu'elle allait passer la soirée au PUB « The Keegan's ». Elle m'étonnera donc toujours ! Je lui expliquai que l'on m'avait raconté que ça allait être dur d'entrer, qu'il y aurait un videur et que si j’étais elle, je n'irais pas pour rien vu qu’elle n'arriverait jamais à entrer. Elle se mit à me rire au nez et me raconta que s’il y en avait bien une personne qui n'aurait pas de mal à entrer, c'était bien elle, et que c'était plutôt à moi de m'inquiéter.
Je lui ai proposé de l'emmener, mais il fallait qu'elle attende que je me prépare. Je n'avais pas prévue de sortir le soir, mais l'espoir de la voir se faire mettre à la porte me donnait l'envie de sortir tout d'un coup. Elle accepta. Je suis donc parti prendre une douche rapide et ai enfilé un jean et une chemise blanche. Quand je suis sorti de ma chambre, elle était assise sur le canapé et m'attendait. Je lui ai annoncé que j'étais prêt et nous sommes partis en direction de ma Golf. Quand nous sommes arrivées à ce fameux pub, il y avait une file d'attente énorme, je vis Keira passer sur le côté et dépasser tout le monde, je l’ai regardée faire et lui ai demandé :

- «Tu ne fais pas la queue ?
- Non, toi tu ne t'es peut être pas intégré, mais moi oui !
- Si tu le dis ! »

J'étais sceptique, mais la laissais faire. Elle s'arrêta devant le videur, c’était un gars assez grand, un poil de plus que moi, les cheveux rasés, avec un t-shirt noir assez moulant, de façon à faire ressortir ses muscles et un pantalon baggy noir, lui aussi.

- «Regarde faire l'experte ! » me dit-elle avec un clin d’œil.

Le videur la regarda et lui fit un sourire avant de lui dire :

-« Melle Lopez, allez-y, entrez, il est avec vous ? »

Elle me lança un petit sourire malicieux. Elle n‘allait pas oser me laisser dehors tout de même ! Elle me regarda de haut en bas, avant de me sourire et de répondre au videur :
- « Oui, il est avec moi Erik. Savez-vous où se trouve Melle Keegan ?
- Elle est à l'intérieur, mais je ne l'ai pas vue depuis un moment.»

Elle l’a remercié et nous sommes entrés. Je lui ai demandé comment elle avait fait ? D'où elle connaissait le videur ? Elle me raconta qu'elle connaissait le videur juste comme ça et que c'était encore mieux, qu'elle couchait avec le proprio ! J'étais sous le choc, ma bouche était restée grande ouverte, aucun son n'arrivait plus à sortir. Quand Keira vit ma tête, elle se mit à rigoler et me raconta que c’était une blague, qu’elle connaissait bien « LA » proprio, puis elle m'annonça qu'elle partait de son côté et que l'on se reverrait plus tard.

Je me suis dirigé vers le bar et me suis commandé une bière, l’ai prise et ai fait « le tour du proprio », comme on dit. La déco était plutôt pas mal, dans un style assez jeune et plutôt Irlandais, la musique était très récente et de bon goût. Heureusement que Keira avait ses entrées car ce pub allait marcher du tonnerre !

Cela faisait déjà près de deux heures que j'étais arrivé, quand je reçus un texto de Keira m'annonçant qu'elle était déjà rentrée. Ce message ne lui ressemblait pas du tout, il devait provenir de sa mystérieuse amie. Je suis retourné au bar pour me commander une dernière bière avant de partir et me suis fait draguer par la serveuse par la même occasion. Une de plus, j’ai pris quand-même son numéro, comme pour les trois filles précédentes. Quand j’ai passé la porte, je me suis heurté à une jeune fille, elle était magnifique, brune, avec des reflets roux, les cheveux longs et ondulés, le visage fin, avec de magnifique yeux d’un bleu clair, presque gris et son regard était perçant. Quand on la regardait, on ne pouvait voir qu’elle, je ne pouvais plus détacher mon regard, ses lèvres roses et pleines, ses pommettes hautes et ses traits finement dessinés, elle était d'une beauté irréelle. Je me suis excusé, « oups », elle était énervée et le fait que je la dévisageais comme ça n'avait pas dû aider. Mais cela n'enlevait rien à son charme. Je l’ai regardée rentrer à l’intérieur et hésitais à en faire de même. Qui sait, je pourrais repartir avec son numéro aussi! Quand je me suis retourné, une blonde, assez vulgaire à en croire sa tenue et son maquillage beaucoup trop prononcé à mon goût, s'était arrêtée juste devant moi, elle posa sa main sur mon torse.

- Tu rentres beau gosse !
- ouais.
- Ça te dit de me payer un verre avant de partir ? Moi c'est Mel.

Elle n'avait pas froid aux yeux celle-là et elle en redemandait, mais elle n'était pas vraiment mon genre. Je ai décidé de mettre un terme à ses avances et lui ai raconté que je devais partir avant que ma femme ne débarque. Elle parut déçue mais ne renonça pas pour autant, alors j’ai retirer sa main, qu'elle avait laissée sur ma poitrine et suis parti sans rien dire.

A mon arrivée à la maison j’ai découvert Keira couchée dans son lit toute habillée, je lui ai ôté ses chaussures et l’ai recouverte de sa couverture, et suis parti me doucher. Une fois dans mon lit, je repensais à cette fille, j'aurais aimé la revoir mais je ne possédais aucun indice pour pouvoir la retrouver, à part aller dans ce PUB en espérant qu'elle y retourne aussi un jour.

Prêt à tout pour elle






  ~  Chapitre 1  ~

PDV : Briana

Salut, je me présente, je m'appelle Briana et J’ai tout juste 16 ans. Cela fait un an que ma vie est devenue un véritable enfer depuis que mes parents sont morts dans un accident d'avion, il ne me reste que Liam mon frère, la moitié de moi-même, mon jumeau. Nous vivons tous les deux dans la maison familiale. Juridiquement nous sommes sous la tutelle de notre tante Jenny, mais elle a dû partir en France pour son travail ("mutation obligatoire": disait son patron !). Elle a accepté de nous laisser continuer nos études ici, à Torrance. Elle revient nous voir une fois par mois et nous téléphone toutes les semaines c'est une vraie mère poule! Mais après tout, c’est comme ça qu’on l’aime notre tante. Je suis une fille tout ce qu’il y a de plus normale, exception faite que c’est moi qui gère le PUB que nos parents nous ont légué à leur mort. (Écris comme ça dans la version définitive).

Je me souviens encore de jour où des policiers en uniformes ont frappé à la porte, c’est moi qui leur ai ouvert. Je revois leurs regards tristes quand ils me regardaient. Et leur mots restent encore aujourd’hui gravés dans ma mémoire : « vos parents ont eut un accident de voiture, les freins ont lâché, et ils ont embouti un camion. Ils ont été emmenés au Torrance Mémorial Center. Ils sont dans un état critique ». Quand Liam est arrivé à la porte, je me suis écroulée au sol.

Comme nous ne voulions pas laisser le bar dans les mains d’un inconnu, (enfin, surtout moi !), nous avons passé un marché avec tante Jenny: on ne sèche pas l'école, on ne passe pas des nuits entières à faire la bringue là-bas (dans mon cas c'était plus que sûr, la mort de nos parents m’avait rendue très solitaire excepté avec Liam) et l'on devait être "responsables" sinon, c'était un aller simple direct pour la France, ce dont nous n’avions envie ni Liam, ni moi.

C’était la rentrée scolaire. Mon frère et moi-même rentrions en terminale, notre dernière année au South High School et j'espérais entrer à Harvard l'année suivante. C’était un rêve que je partageais avec mon père, lui aussi souhaitait que j’arrive à intégrer l’une des meilleurs Universités des Etats Unis, dans laquelle il avait lui aussi étudié.

Je me préparais tranquillement, je laissais mes cheveux châtains retomber, ils étaient très raides et m’arrivaient à mis-dos. Je me passais juste un léger coup de mascara et de crayon sur mes yeux "noisette", une touche de gloss puis enfilais mon jean fétiche avec "le" maillot de hockey, (Celui de mon père, un des rares vêtements de nos parents que nous avions gardé) et une paire de tennis. J'allais descendre à la cuisine lorsque quelqu’un tapa à la porte, j'ouvris la porte, (pas de premier dialogue) c’était Liam qui voulait savoir si j’étais prête à partir pour le lycée car lui était plus que prêt. Il s’était fait tout beau pour cette occasion. Ses cheveux bruns qu’il avait coiffés avec des petits pics un peu partout sur la tête version "négligé". Il avait mis un tee-shirt blanc qui laissait bien ressortir ses " tablettes de chocolat ", comme il aimait les appeler sur un jean à la dernière mode. Nous étions souvent synchronisés comme ça, ou encore, quand je pensais à quelque chose, je n’avais pas besoin de dire quoi que ce soit, un seul regard et il le savait aussitôt. Cela nous valait souvent des regards d’incompréhension des autres personnes qui se trouvaient avec nous. Nous sommes ce que l’on peut appeler des jumeaux "fusionnels", nous aimons nous taquiner l’un l’autre, c’est comme pour ce surnom ridicule qu'il me donne tout le temps: " Chouquette ", je ne le supporte pas du tout, alors, il continue d’insister avec, c’est sa façon à lui de m’embêter, quant à moi, je lui rappelle que c’est moi, l’aînée des deux ! (je ne sais pas si deux minutes comptent vraiment beaucoup mais bon, lui, ça l’énerve, et moi, ça me fait marrer de le voir).

Nous sommes descendus ensemble, j’ai avalé mon café à toute vitesse et nous sommes partis tous les deux en direction du lycée. En arrivant sur le parking il y avait déjà Marco. Il était grand, de la même taille que mon frère , ils étaient tous deux coiffés à l’identique excepté que lui était blond aux yeux bleus. Bobby, quant à lui était plus petit qu’eux et avait des cheveux châtains jusqu’aux épaules. Ils étaient ses deux meilleurs amis depuis l’enfance, mais aussi ses coéquipiers au football. Ils attendaient Liam alors j'ai décidé de les laisser là et de partir de mon côté pour rejoindre ma salle de cours.

La matinée passa très vite, je profitais de la pause déjeuné pour passer quelques coups de fils afin d'organiser la soirée de réouverture du PUB qui devait avoir lieu ce vendredi. Cela faisait un mois qu'il était fermé pour cause de rénovation car Liam avait à tout prix voulu lui redonner un "coup de jeune". Vu que les affaires diminuaient depuis la mort de nos parents, les habitués et amis de nos parents ne venaient plus, il avait argumenté sur le fait que maintenant qu'il était à nous, qu'il devait davantage nous ressembler, car si les habitués venaient, c’était surtout pour nos parents, et du coup, le chiffre d’affaire commençait à s’en ressentir. Nous devions donc changer "l’apparence" du lieu, en le rendant plus jeune, pour attirer une nouvelle clientèle, sans toutefois perdre de vue ce que nos parents voulaient en faire quand il l’ont ouvert. J'avais donc accepté (comme à chaque fois qu’il voulait quelque chose d'ailleurs!)

Liam et moi avons hérité de la maison, du Pub et des voitures. J'ai laissé la Porche Carrera à Liam vu qu'il en est dingue (c’était la petite "crise de la quarantaine" de papa) et j’avais gardé la mini Cooper pour moi. Nous utilisons plus ma voiture que la sienne, surtout pour nous rendre au lycée, nous ne sommes pas du tout du genre "m’as-tu vu "!
En relevant la tête, je vis Kate, mon ex-meilleure amie, (devenue une vraie peste avec moi lorsque j'ai décidé de quitter les Pom-Pom girls pour lesquelles j'ai été capitaine pendant près de deux avant la mort de mes parents). Entre nous c'était devenu la guerre. Elle me regarda avec un regard méprisant qui me donnait envie de lui coller une gifle, voire même plus. Mais bon, il fallait que je me calme, nous n’étions pas seules, il y avait plein de monde autour de nous, et j’avais peu de temps à consacrer à Mr Stevenson, le conseiller d’orientation. Donc, " on tourne la tête dignement et on retourne en classe !": me suis-je dit.

Le reste de la journée passa encore plus vite. J'attendais Liam devant ma voiture depuis déjà dix bonnes minutes quand il arriva en courant et me lança les clefs qu’il avait gardé dans sa poche toute la journée. Heureusement pour moi, il ne pleuvait pas ce jour-là, mais j’étais assez pressée. Je lui en fis la remarque, il s’excusa aussitôt avec un grand sourire (celui qui faisait craqué toute les filles) et m’expliqua que l’entraîneur avait fait passer le mot en dernière heure pour dire qu’il y aurait une réunion, après les cours, concernant la reprise de l’entraînement et que Marco le raccompagnerait à la maison le soir. Il repartit en courant rejoindre le reste de son équipe, ainsi que les Pom-Pom girls. Je connaissais bien ces réunions un peu barbantes, en temps normal, elles n’avaient pas lieu avant la seconde semaine de la rentrée.

Je suis monté à bord de ma Porsche et parti aussitôt en direction du bar pour voir où en étaient les travaux, qui ne devaient pas tarder à être terminés. Au moment même où je passais la porte, les ouvriers venaient tout juste de finir. Ils étaient en train de ranger leur matériel, il ne me restait plus qu'à nettoyer le plus gros. Une fois tout remballé, je me suis activée et ai repassé un coup de javel, (et oui, je suis une fan de javel !) J'ai terminé le grand nettoyage à 21H30, j'ai téléphoné à Liam pour savoir si il avait mangé, il me dit qu'il avait commandé une pizza et m'en avait commandée une par la même occasion. A mon arrivée à la maison, il regardait un film avec son ami Marco:

-" Salut les gars !"
-" Salut Briana": salua Marco.
-" Alors chouquette, ça en est où le PUB ?"
-"J'ai terminé de tout nettoyer, j'y retournerais demain après les cours pour déballer les cartons et mettre toute la nouvelle déco en place."
-"Tu as besoin d'un coup de main ?": proposa aussitôt Liam.
-"Non, ça va aller merci". (Perfectionniste comme je suis, ils vont plutôt me déranger au lieu de m’aider).
-"On peut venir tous les deux si tu veux, ça ira plus vite": proposa Marco.
-"Non, c'est bon, je préfère le faire seule, mais c'est gentil de votre part quand-même les gars."
-"Tu veux te joindre à nous pour regarder le film?"
-"Non, je vais passer à la salle de bain et me coucher": baillais-je.
-"Alors bonne nuit "chouquette"!"

Ce qui fit rire Marco car il savait très bien que j’avais ce surnom en horreur, je lui lançais un regard noir et il cessa aussitôt. Je leur souhaitais un bon film, et ils me répondirent merci d’une seule voix. Je pris une part de pizza dans la boite qui était posée sur la table et montais, j’étais exténuée et je n’avais pas encore eut le temps de faire la pile de devoirs dont on nous avait déjà accablés. Une fois tout ça terminé, je pris une bonne douche à en vider le ballon d’eau chaude, enfilais mon vieux jogging et allais me mettre au lit, je m’enroulais dans ma couette, il était déjà minuit passé. La nuit fut bonne, je me réveillais juste dix minutes avant que mon réveil ne sonne, toute fraîche et prête pour une nouvelle journée.

Je m'installais à ma place en cours d'anglais, le prof allait commencer son cours, quand quelqu'un toqua brièvement à la porte tout en entrant, c’était Mr Stevenson qui venait nous présenter une nouvelle élève. Il nous la présenta brièvement elle s'appelait Keira Lopez, elle venait tout juste de s’installer à Torrance. Elle était brune, les cheveux raides jusqu’aux épaules, assez grande, en tout cas, plus grande que mon mètre soixante-trois, et ne devait pas dépasser les soixante kilos. Elle avait la peau assez mate, sûrement due à des origines mexicaines ou latino, ce qui lui donnait un charme que l’on ne trouvait pas partout, surtout dans notre lycée. Le prof remercia Mr Stevenson et pria la nouvelle de s’asseoir à mes côtés.

-" Salut, moi c'est Keira ... Keira Lopez et toi ?"
-" Salut, moi c'est Briana Keegan, tu viens d'où ?"
-" J'arrive de Pittsburgh."
- "Cool !."

Nous arrêtâmes de discuter pour suivre le cours, elle avait l’air plutôt cool.








Prêt à Tout pour elle

Petite Présentation de mon premier Roman : Prêt à tout pour elle 

Le voici, le voilà, bon je sais la pochette n'est pas gégé, mais je compte faire une rééditions et donc mettre une vrai pochette, mais je n'ai pas encore d'idée, donc si vous vous en avez n'hésitez pas, j'accepte toute proposition, lol.




La fiche technique :
Edition :   Edilivre collection Tremplin
Date de Publication : 23/03/2012
Nombre de pages : 322

Le résumé :
Le destin est ainsi fait.
Il suffit d'une seule rencontre pour que toute une vie bascule.
Et ma vie a complètement chaviré, le jour, où il m'a bousculé.
Le jour où il a réussi à conquérir mon cœur fermé à tout, depuis la mort de mes parents.
Seul mon frère, mon jumeau, ma moitié, arrivait à l'atteindre.
Mais lui, il est vite devenu un élément essentiel à mon bonheur, jusqu'au jour où…
Le pire qu'il puisse m'arriver est advenu, et là, ma vie a de nouveau basculé.



Pour vous mettre l'eau à la bouche :

De quoi êtes-vous capable pour la personne que vous aimez ? 
Navid lui est prêt à tout pour conquérir le coeur de Briana. 
Briana elle est prêt à tout sacrifier par amour.
Des âmes soeurs, des préjugés, des malentendus ferons de leur amour une véritable perte de temps, alors qu'il pourrait s'aimer tout simplement




Petite présentation



Que dire de sur moi !!!!

J'adore les livres, j'adore lire, j'adore écrire.

Bon on va commencé par le commencement.
J'ai commencé à écrire mon premier roman, en tant que fiction sur un blog de Skryrock, et je doit dire que j'ai pas mis tant de tant que ça à l'écrire, les lecteurs me motivé beaucoup et puis plusieurs personnes mon conseillé de le proposé à l'édition, j'ai hésité puis c'est mis mon mari aussi du coup j'ai tenté ma chance avec plusieurs maison d'édition, j'ai eu plusieurs proposition à compte auteur, mais les frais était très cher, et Edilivre à accepté et ne demandé rien alors j'ai signé et voilà le premier opus de "Prêt à tout pour elle" en route.

J'ai aussi commencé à écrire une autre histoire (toujours en cours) "Mya" et j'espère qu'elle aussi vous plaira, en espérant réussir à la faire publier.

Pour ceux qui me connaisse déjà sur la Bloggo, je possède un autre blog, ou je chronique tout les livres que je lis : "Hooked-on-the-book".

Allez parlons un peu de moi, je suis maman de 3 enfants, Valentin, Lana et Jonah, mes bébés que j'aime de tout mon coeur, et comme dirais "Briana : Tout là haut jusqu'au ciel".

Par moment on me pose là question, donc je vais le lire maintenant aucun de mes écrits n'est autobiographique et surtout pas Mya, même si certaine personne on pensé qu'il était assez réaliste niveau des maltraitances (je n'en dis pas plus)